Des projets d’attentats terroristes aux attaques de rue, le spectre de la violence des groupes d’extrême droite est large. Leur augmentation inquiète spécialistes et militants antifascistes.
« Pour eux, la seule voie, c’est le soulèvement. Un scénario de guerre civile. » Jean-Yves Camus, directeur de l’Observatoire des radicalités politiques, craint la montée de la violence des groupuscules d’extrême droite, mus par une idéologie qui mène au terrorisme. Depuis 2017, neuf projets d’attentats (…)