Le mouvement coopératif est porteur de valeurs démocratiques dans l’économie. Mais le besoin d’investir pèse sur son développement. Cette contrainte pourrait être réduite par la mutualisation de flux de trésorerie, plaide Benoît Borrits.
La différence fondamentale entre une coopérative et une société de capitaux est la relation inverse qui existe entre le capital et l’objet social. Dans une société de capitaux, les propriétaires se réunissent pour valoriser leur capital, l’objet social – ce que va produire (…)
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Débats