Une victime d’un viol veut porter plainte à Paris. La police lui envoie un formulaire par mail à remplir chez elle, avec une suite de questions qui peuvent paraître déplacées ou hors-sujet. Cette manière de faire est de plus en plus courante.
« Vous souvenez-vous comment vous étiez vêtue ? » « De quelle façon décririez-vous votre comportement vis-à-vis des hommes ? » « Avez-vous une raison autre que le fait de dénoncer les faits, dont vous estimez avoir été victime, pour déposer plainte ? » Seule face à (…)
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Société