Environ 800 communard·es ont trouvé refuge en Suisse, en particulier à Genève, après la répression de la Commune de Paris et des autres communes insurrectionnelles en France.
À l’instar de l’Angleterre et de la Belgique, la Suisse – en particulier la Suisse romande, pour sa proximité géographique, sa langue, mais aussi par la présence de l’Association internationale des travailleurs – a constitué une terre d’exil pour les communard·es recherché·es ou déjà condamné·es. Ou « communeux », pour reprendre (…)
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