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Il y a des cinémas qui résistent aux vents contraire. A La Ciotat la municipalité est de force 7. Une bourrasque politique, qui voudrait balayer de son centre ville, le cinéma emblématique “Le Lumière”, construit en 1913 par un disciple d’Eiffel. Pourquoi La Ciotat qui s’enorgueillit d’être le Berceau du Cinéma – La cité n’abrite-t-elle pas le plus vieux cinéma du monde – L’Eden -, s’entête-t-elle dans ce jeu de massacre concerté ? Trois écrans ronronnent à plein pour le plus grand bonheur des ciotadens, trois écrans sacrifiés sans but avoué, autre que la disparition du cinéma. L’errance décisionnaire de la municipalité sur le non- avenir du “Le Lumière”, rappelle celui du bal des hypocrites. Décisions aléatoires, sans fondement précis, autre que de se draper dans le silence assourdissant d’un dialogue ignoré. On se repasse la patate chaude. Gouverner sans prendre de décision qui bousculerait le ronron quotidien. “L’association La Culture ça Urge” a retroussé ses manches, et avec l’ambition de la justesse de leurs propos, remuer les méninges des spectateurs. Un écho des plus positifs, une pétition qui a réuni plus de six mille signatures aujourd’hui. Même si La Ciotat est à l’autre bout de de la France, pensez que demain, le même sort peut-être réservé à votre cinéma favori au nom d’une alliance entre promoteurs et municipalité, tout cela pour l’intérêt commun,qui ne profite qu’à quelques uns ! “Main basse sur la ville” de Francesco Rosi, (1963). Avait déjà alerté sur les connivences des pouvoirs. Main basse sur la culture, pourrait-on filmer aujourd’hui.
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Anatomie d’une chute de Justine Triet, Palme d’Or du 76e Festival de Cannes
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Les grincheux se sont réveillés. “Pensez-donc ma petite dame, les artistes ne sont pas que des amuseurs, ils et elles ont aussi une conscience sociale“… Heureusement ! Oser défendre sur le tapis rouge la luttes et syndicats contre la réforme des retraites, voilà qui en est trop…
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On peut lire ici et là, beaucoup sur les réseaux, que l’artiste crache dans la soupe et que Justine Triet ferait mieux de savourer son petit bonheur “égoïste”. Sait oublier que son job peut-être aussi un porte voix. L’ouvrir au nom de tous ceux qui l’on entend pas. L’artiste à la parole libre et doit s’en servir. Quand aux pleurnicheries concernant les subventions étatiques qui nourrissent le 7e Art, je renverrais tout ce beau monde à une lecture des plus passionnante “le code du CNC” et à la découverte de cet instrument unique au monde que l’on appel la TSA…
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Bravo citoyenne Justine Triet, ton intervention redore un peu plus cette palme.
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Il y a des Prix à Cannes qui méritent le déplacement
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PRIX DE LA CITOYENNETÉ – FESTIVAL DE CANNES 2023
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Le film de la réalisatrice Kaouther Ben Hania a reçu le prix de la Citoyenneté pour son film Les Filles d’Olfa et Jeunesse de Wang Bing – une Mention Spéciale du jury. Un acte fort signé par jury décidé mené cette année par la comédienne Maria de Médeiros. Deux films à découvrir sans modération dès qu’ils sortiront. On en reparlera.
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JLG Demandant au Jury du Festival de Cannes de d’interrompre les “festivités” et de rejoindre le mouvement. Nous sommes en 1968. Un drôle d’écho, un étrange décalage avec aujourd’hui – Cette absence de solidarité – cet entre-soi rassurant – oubliant les spectateurs potentiels que les grèves ont plombé.
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Conférence de presse par une équipe de la télévision.
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Un message de l’ACID que nous partageons
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Soutien au Festival du court-métrage de Clermont-Ferrand
A quelques jours de l’ouverture du festival de Cannes, les cinéastes de l’ACID ont appris avec stupéfaction que la subvention attribuée au festival du court-métrage de Clermont-Ferrand par la région Auvergne-Rhône-Alpes a été amputée cette année de plus de moitié, passant de 210 000 à 100 000 Euros. Cette décision arbitraire fragilise le festival, qui se remet à peine des années de pandémie, et pourrait même à court terme signifier la fin de ce maillon essentiel de la diffusion cinématographique française et internationale en tant qu’important découvreur de cinéastes depuis plus de 45 ans.
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Nous sommes choqués par cette décision brutale qui déstabilise non seulement l’association organisatrice du deuxième festival de cinéma français en termes de fréquentation (160 000 entrées en 2023), Sauve qui peut le court-métrage, ainsi que les professionnels du court-métrage, mais sanctionne également les publics d’Auvergne qui bénéficient tout au long de l’année d’actions d’éducation, de création et de diffusion.
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Après le retrait d’aides régionales d’un montant de près de 4 millions à 140 acteurs culturels en 2022, les coupes drastiques au festival du court-métrage de Clermont-Ferrand s’inscrivent aujourd’hui dans une nouvelle série de baisses, voire suppressions de subventions, décidées par le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez, et dont sont également victimes une quinzaine d’autres structures culturelles, comme le Théâtre Nouvelle Génération, le festival Plein la Bobine ou le festival du court métrage en plein air de Grenoble.
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Nous dénonçons avec force cette politique arbitraire qui va à l’encontre d’un service public de la culture, fragilise des acteurs culturels implantés dans la région depuis longtemps, met en péril les emplois artistiques, administratifs et techniques mais risque surtout de priver, à très court terme, le public d’une diversité d’œuvres et d’une richesse de création.
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L’action culturelle a besoin d’une inscription dans la durée pour pouvoir se déployer sur son territoire et consolider son public. La politique culturelle qui l’accompagne doit être menée en concertation, sans idéologie, dans l’intérêt général. Elle doit être garante de liberté de création et d’expression artistiques, d’accès de tous aux œuvres, tout comme de pérennité des emplois et de stabilité des structures. Elle ne peut pas être assujettie au bon vouloir d’un seul homme avec un risque d’instrumentalisation de l’argent public pour intimider, sanctionner et punir les uns ou récompenser les autres. Les récentes décisions injustifiées de la Région vont à l’encontre d’un fonctionnement démocratique et constituent une dérive autoritaire et populiste.
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Nous exprimons notre profonde solidarité avec le festival du court-métrage de Clermont-Ferrand et les autres structures impactées par ces baisses ou retraits de subventions, ainsi que notre attachement à la liberté d’expression, de création et de diffusion.
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Nous appelons tous les acteurs de l’Action Culturelle Cinématographique et professionnels présents au Festival de Cannes à un dialogue public et ouvert avec les représentants du festival du court-métrage de Clermont-Ferrand, qui se tiendra le 22 mai à 16h au Café des cinéastes, 8 rue du Batéguier.
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Les cinéastes de l’ACID |
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Vous possédez certainement l’indispensable câble. Mais si, cherchez bien. Une fois en main, vous le branchez là où il faut pour le relier à votre vidéo projecteur, votre télé. Le tour est joué.
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Vous voilà membre du CLUB HDMI. Pas de droit d’entrée, rien qu’un branchement ! Nous vous proposons quelques archives qui méritent peut-être votre attention et un grand écran. Sans se presser,nous ajouterons les sujets sous forme de vidéothèque consultable à votre convenance. Alors n’hésitez pas.
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Le cinéma n’est pas mort ! La preuve retrouvez le flibustier des salles obscures qui nous entretien encore et toujours de son cinéma
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DE NOS TROIS ÉMISSIONS SUR NOTRE WEBTV.
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La question du Sphinx André Bazin que nous posons
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à découvrir en cliquant sur le visuel
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UNE IMAGE SUFFIT-IL A RÉSUMER GODARD ?
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Le rendez-vous est pour bientôt
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284 sujets vidéos vous attendent.
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