Alors que se déroule le procès de l’accident du travail qui a coûté la vie à deux cordistes, Vincent Dequin et Arthur Bertelli, dans une entreprise sucrière, leurs anciennes compagnes racontent de manière poignante, comment elles ont vécu ce drame.
Fanny : 13 mars 2012. Il est environ 15 h, le téléphone fixe sonne, je m’extirpe en boitillant du canapé pour aller décrocher. C’est Simon, un ami proche, cordiste comme Vincent. Bizarre. Non seulement il m’appelle moi, en pleine journée, sur le fixe, mais en (…)