Les tentatives de suicide ou les files d’attente devant les distributions alimentaires mettent en lumière la détresse de toute une génération. Malgré la reprise partielle de cours en présentiel, le manque de vie sociale pèse énormément.
« Mon week-end ressemble à la semaine. On se lève à 8 h, je passe ma journée à regarder et retranscrire les vidéos de cours enregistrées par mes profs. Je n’en vois jamais le bout. » Anna, 18 ans, est en première année de sciences et vie de la terre dans une faculté de Lyon. (…)
–
Résister