Un témoignage renversant, à deux doigts de nous faire rendre nos tripes :
Les saloperies de la police, à tout le moins moins, de certains policiers dont le front est toujours resté très national et qui ont trouvé dans ce métier la possibilité de cracher leur venin presque légalement !
Ils nous le prouvent par leurs comportements, osons le dire, comme aux pires temps de notre Histoire récente. Que ce soit sous Vichy ou, plus proche de nous, durant les années 60 où, comme chacun sait, il n’y avait pas de guerre mais seulement des “événements” ou de la “pacification” en Algérie.
Et en ces temps-là, la police pouvait commettre les pires crimes, comme jeter dans la Seine des manifestants favorables à l’indépendance algérienne alors que beaucoup d’entre eux, originaires de régions éloignée de la mer, ne savaient pas nager pour la plupart. C’était un fait connu.
De toutes façons, ils étaient jetés à l’eau après un tabassage, si j’ose dire, “en règle” ordonné par les gouvernants de l’époque dont Maurice Papon était ministre de l’Intérieur, jusqu’au gouvernement Giscard qui l’avait nommé aux finances…
Et comme souvent, l’Histoire aujourd’hui se répète. Des policiers à qui on laisse entendre qu’il sont garantis d’une totale impunité se permettent, sinon de tuer un Homme, à tout le moins de ne pas le secourir, de rire et de plaisanter sur sa situation.
C’est un crime de plus à rajouter au déjà copieux palmarès de Castaner et de sa bande de criminels… Nous n’avons toujours pas oublié Benala qui reste la preuve accablante des méthodes de gouvernement de Macron..
Ci-dessous, un lien vers un court témoignage d’Eric Coquerel où suivent des infos sur les conséquences de la crise actuelle :
https://linsoumission.fr/2020/04/27/coronavirus-omerta-sur-les-violences-policieres/
Bonne journée, malgré tout, si c’est encore possible à toutes et à tous,
WlaD…
- WlaD