Dans le département le plus pauvre de métropole, des classes se retrouvent sans cours faute d’enseignants. Sans action du rectorat pour recruter des remplaçants, les parents se sentent « délaissés ». Colère et mobilisations sont en train de monter.
Au collège Jean-Lolive de Pantin, en Seine-Saint-Denis, deux classes de troisième ont passé deux mois sans cours de français, faute de professeur. Des élèves de sixième n’y avaient ni français, ni histoire-géographie, ni anglais. Dans la même ville, au collège (…)
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Société