Le nombre de plaintes pour violences sexistes et sexuelles se multiplient. Mais les récits de mauvaise prise en charge par la police aussi. Pour les associations, la volonté politique pour améliorer la formation des agents fait défaut.
« Au commissariat central de Montpellier, on demande aux victimes de viol si elles ont joui. » C’est avec ce tweet de la militante féministe Anna Toumazoff, posté fin septembre, que commence la plus récente vague de témoignages de femmes mal accueillies dans des (…)
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Société