Au CHU de Rennes, comme dans de nombreux hôpitaux français, les murs des salles de repos des internes sont recouvertes de peintures pornographiques. Depuis des années, des soignants se battent pour les faire effacer.
Dans les locaux des médecins internes du CHU de Rennes, une vingtaine de fresques recouvrent les murs. Celui sur lequel s’appuie la machine a café est particulièrement fourni. Ce ne sont pas des scènes de soins. Loin s’en faut. On y voit un bouc s’accoupler avec une chèvre, un homme (…)
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Société