Pour contribuer au financement de la future ligne à grande vitesse entre Bordeaux et Toulouse, les communes situées à maximum une heure d’une gare desservie par cette LGV doivent payer une nouvelle taxe. Incompréhensible et inacceptable pour une soixantaine de communes du Lot.
Précisions récoltées s/www >>
Cette taxe serait répartie ” entre toutes les personnes, physiques ou morales assujetties
Dans un contexte d’inflation et de réduction du pouvoir d’achat, cette énième taxe est généralement mal accueillie par les maires. La plupart ne connaissant même pas son existence.
Même si elle ne représente que 3 à 6 euros par an pour les contribuables locaux, dans ces communes, on souhaite que cette taxe finance plutôt l’entretien et la réfection de la ligne POLT (Paris-Limoges-Toulouse) plutôt qu’une LGV qui ne les concerne pas vraiment.